18 novembre 2024
16 mars 2016
Article paru dans Impact Campus le 15 mars 2016 par Sabrina Lalonde
C’est au Musée de la civilisation que se tenait la 23e édition de l’encan et de la remise de prix de l’Objet. Au grand bonheur des concepteurs, des acheteurs et des visiteurs, 36 objets ont été exposés, admirés et vendus.
La tradition de l’Objet a continué son chemin grâce au travail acharné du comité organisateur et des concepteurs. L’année 2016 a apporté son lot d’innovations, d’idées surprenantes et d’élégance.
Sylvie Girard, présidente d’honneur et architecte associée à CGA architectes Inc., parle de l’édition 2016 comme d’une «cuvée extraordinaire». Horloge, module pour bébé, bol à fruits pour ne nommer que ceux-là : les étudiants se sont surpassés pour produire des objets ludiques ou utilitaires.
Qui dit mieux ?
Tout le monde a la chance de voir sa création monter aux enchères ou de gagner des prix. « C’est assez partagé. Ce qui se vend le plus dépendra du coup de cœur des acheteurs », explique Catherine D’Amboise, membre du comité organisateur et étudiante à la maîtrise en architecture.
Le prix moyen de vente tourne autour de 340 $. En 2015, Écho, un amplificateur de son en bois confectionné par Julien Beauchamp-Roy et Romy Brosseau s’est vendu pour un peu plus de 2000 $, remportant aussi quatre prix. Cette année, la plus haute surenchère est montée jusqu’à 750 $. Les sommes amassées servent à financer les activités des finissants en architecture.
De la commercialisation d’objet a déjà été faite, il y a cinq ans, pour une lampe, se souvient Catherine D’Amboise. Sans se positionner contre la vente en série, L’Objet ne pousse pas dans cette direction, car son but « reste que chaque objet soit unique et que l’acheteur soit le seul qui possède l’objet chez lui », ajoute la jeune femme.
Lire l’article complet : L’Objet 2016 : un encan qui s’éclate