Du 12 décembre 2024 au 17 janvier 2025
Exposition «16 architectures manifestes d'une contre périodicité de l'habité» par l'atelier A5JA24
Criterium - 371 rue du Pont
jeudi 5 février 2015, 17h30
Auditorium Neumann (2117), École d'architecture de l'Université Laval
L’École d’architecture de l’Université Laval est heureuse de vous inviter, JEUDI 5 FÉVRIER 2015, à la conférence d’Anne Bordeleau (Waterloo) à l’auditorium de l’École d’architecture (2117), à 17 h 30. Le lancement de son dernier ouvrage – Charles Robert Cockerell, Architect in Time : Reflections Around Anachronistic Drawings.
Anne Bordeleau est architecte et professeure agrégée à l’École d’architecture de l’University of Waterloo en Ontario. Après avoir effectué ses études professionnelles à l’Université McGill, elle y a aussi obtenu une maîtrise post-professionnelle en histoire et théorie de l’architecture, pour ensuite compléter ses études doctorales à la Bartlett School of Graduate Studies (UCL), sous la direction du professeur Adrian Forty. Récipiendaire d’une bourse postdoctorale du Paul Mellon Centre for Studies in British Art, elle a publié dans plusieurs revues internationales telles que The Journal of Architecture, Architectural History, Footprint, Architectural Theory Review et Architecture Media Time Society. Ses recherches – sur Cockerell, l’index, le musée, la cartographie ou même la ville – sont fondamentalement ancrées dans l’étude de la relation entre l’architecture, le temps et l’histoire. Dans Charles Robert Cockerell, Architect in Time: Reflections around Anachronistic Drawings (Ashgate, 2014), elle étudie comment un architecte anglais du dix-neuvième siècle aborde l’architecture à l’ère de l’historicisme.
Conférence et lancement:
Quelle est la relation de l’architecture au temps et à l’histoire? Comment cette relation s’exprime-t-elle dans nos représentations et constructions architecturales? À travers l’étude de l’oeuvre et de dessins marquants de l’architecte anglais Charles Robert Cockerell (1788-1863), cette conférence touchera à la richesse de l’anachronisme, au pouvoir du fragment et à une conception dynamique de l’ornement.